La Quadrature du Net dénonce l'amalgame fait entre l'utilisation d'outils de protection de la vie privée – comme les messageries chiffrées ou les VPN – et le fait de paraître suspect, dans une affaire où des personnes sont accusées d'association de malfaiteurs terroristes, l'affaire dite du 8 décembre 2020. Utiliser ce type d'outils est un droit et une pratique banale qui ne doit pas être synonyme de « comportement clandestin », voire terroriste, plaide l'ONG.



